« Bobby, j’ai besoin de conseils éclairés, j’imagine que les tiens seront judicieux et appropriés.
– Crache le morceau.
– Voilà, je voudrais séduire la magnifique et lumineuse Eugénie. J’ai ouï dire que les plaisanteries seraient un bon moyen d’arriver à mes fins.
– Ok. Quand quelqu’un dit « Quoi ?», tu dis « Quoiquoubeh »
– Euh, voilà un calembour bien obtu !
– Attends, attends j’en ai d’autres : Hein? Ainpagnan.
– SOT ! SOT ! ET TRIPLE SOT !
– Bon ok. Alors : Qui? Kiricou.
– Mais quelle blague de balourd !
– Sinon : T’as une tache Pistache.
– Je ne te savais pas si borné toi !
– Lette ! Ou encore : Qu’est ce qui est plus dangereux qu’un arbre ? Deux arbres.
– Bien absurde !
– Que fait une fraise sur un cheval ? Tagada, tagada.
– Stop ! j’ai bien réfléchi et j’ai trouvé la facétie idéale pour la séduire.
– Vas-y dis !
– Les maths, c’est comme l’amour. Une idée simple mais qui peut parfois se compliquer.
– Comment ça mon reuf !!! Il y a que les ringards qui aiment les maths.
– À la revoyure.»
Le dragon blanc et Griffederonce

je ne serais pas étonnée que Bobby reste célibataire encore un petit moment !
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Bravo pour votre créativité! J’ai beaucoup apprécié votre comparaison avec les Mathématiques.
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J’ai essayé, ça n’a pas marché, elle s’est enfuie en courant…
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